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7 clés pour développer sa confiance en soi

Comment développer sa confiance personnelle ? Quels sont les leviers à débloquer pour cultiver une image positive de soi ? Voici les 7 clés fondamentales à intégrer dans son quotidien pour libérer son potentiel.


7 clés pour développer sa confiance en soi
©auclairdelune

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1. Identifiez vos forces


J’ai conscience que lorsque l’on manque de confiance en soi, trouver sa valeur n’est pas chose aisée. Je vous invite néanmoins à être le plus honnête possible avec vous-même, à mettre votre ego de modestie de côté et à sonder votre lumière.

Identifier ses forces personnelles fait partie intégrante du processus introspectif. Cela nécessite aussi de prendre du recul et de se connaître un minimum. Prenez le temps qu’il vous faut pour réaliser cette première étape.


Quelles sont vos qualités, vos compétences, vos succès, vos réalisations ?

  • Vous pouvez tout d’abord demander à votre entourage (famille, amis, collègues) quelles sont les qualités qu’ils admirent chez vous, les aspects de votre personnalité qu’ils considèrent comme des forces.

  • Vous pouvez aussi les identifier à travers vos centres d’intérêt : quels sont les domaines vers lesquels vous vous sentez spontanément attirés ? Quelles sont les activités qui vous passionnent ?

  • Réfléchissez aussi à vos succès : quand vous êtes-vous senti fier de vous et satisfait de ce que vous aviez fait ? Quelles sont alors les compétences, les qualités et les actions qui y ont contribué ?

  • Quelles sont les compétences qui vous démarquent des autres ? Repensez aux tâches, aux activités où vous avez su vous démarquer, que ce soit de l’ordre du relationnel, du créatif, du technique ou de l’intellectuel. Pensez à tout ce qui vous semble naturel et que vous faites sans réfléchir. Généralement, ce sont de bons indicateurs de forces personnelles.

  • Enfin, je vous invite également à sonder vos réactions émotionnelles dans différentes mises en situation. Dans quelles circonstances vous sentez-vous le plus énergique, enthousiaste, engagé ? Quelles sont les activités ou les responsabilités qui vous procurent ces sensations ? Cela vous permettra de connaître ce qui vous motive et vous anime, et d’ainsi évaluer vos forces.


2. Entourez-vous de personnes saines


Je ne le dirais jamais assez : il est primordial pour votre santé psychologique et pour votre bien-être personnel de vous entourer de personnes qui vous soutiennent, vous encouragent et vous inspirent. Évitez donc à tout prix les personnes négatives ou celles qui sapent votre confiance en vous, vous méritez mieux que ça.

Des personnes qui vous valorisent, qui vous poussent à aller vers du mieux, qui vous veulent du bien et savent reconnaître votre valeur sont des personnes de qualité.

Elles sont faciles à reconnaître dès lors que l’on prend le temps d’ouvrir les yeux sur celles et ceux qui nous entourent :

  • Vous vous sentez bien et vous-même en leur compagnie ;

  • Vous ne vous sentez pas épuisé, fatigué, vidé après les avoir vus, c’est même tout le contraire : ces personnes sont un moteur d’énergie ;

  • Vous sentez profondément dans votre âme et votre corps que vous pouvez leur faire confiance.


3. Sortez de votre zone de confort


Ça grince des dents par ici, je l’entends ! Je sais pertinemment ce que vous ressentez, je suis passée par là. Sortir de sa zone de confort est un exercice quotidien et un défi à vie.

Mais cette étape est aussi difficile que cruciale pour développer sa confiance en soi. Pourquoi ? Parce que sortir de sa zone de confort, c’est oser prendre des risques et faire face à ses peurs (et celles-ci sont généralement bien ancrées) pour mieux se prouver que l’on est capable d’être hors du cadre. Il n’y a que dans l’expérimentation que l’on comprend à travers tous ses sens à quel point nous sommes plus que ce qui nous limite. Nous sommes plus que nos croyances limitantes, nos pensées, nos émotions. C’est pourquoi la sophrologie est pour moi un indispensable du quotidien en ce qu’elle aide à se mettre à son plus haut potentiel.

Je ne peux que vous enjoindre à ex-pé-ri-men-ter : testez de nouvelles activités, relevez des (petits) défis et faites face à vos peurs petit à petit.

Vous apprendrez à la fois à vous faire confiance, à développer votre capacité d’adaptation et votre résilience.


4. Fixez-vous des objectifs réalisables


Nous sommes nombreux à voir grand. C’est bien, mais cela peut aussi devenir frustrant et démotivant. Dans mes accompagnements, j’enseigne beaucoup la théorie des petits pas : il vaut mieux avancer doucement mais sûrement que faire des sauts gigantesques en très peu de temps et ralentir jusqu’à stopper ses efforts.

“Pourquoi viser les étoiles quand on peut viser la Lune ?” me diriez-vous, et je suis d’accord, mais il faut faire les choses dans l’ordre. N’oubliez pas que le but est de vous donner confiance en vous et en vos capacités.

Alors, comment se fixer des objectifs réalisables ?

  • Soyez spécifique : vous devez définir clairement ce que vous souhaitez accomplir. Si votre objectif est trop vague ou trop généraliste, votre plan d’action sera bancal et imprécis.

  • Soyez réaliste : énumérez vos capacités, vos compétences et réfléchissez sur votre endurance afin de vous assurer que votre objectif est réalisable dans le cadre de tous ces outils. N’oubliez pas de prendre en compte votre emploi du temps, vos obligations, vos limitations personnelles.

  • Établissez des échéances personnelles : sans datation, difficile d’accomplir concrètement un objectif. En effet, il est plus difficile de rester concentré et motivé lorsque la deadline reste floue. Il est donc impératif de fixer une date limite à la réalisation de cet objectif pour progresser sainement.

  • Divisez votre objectif en étapes : j’adore ce principe des poupées russes où l’on part d’un objectif qu’on sectionne ensuite en plusieurs sous objectifs. L’avantage de le découper en des étapes plus petites rend l’objectif plus gérable dans votre quotidien. Vous serez alors en mesure de voir votre progression et surtout de rester motivé.

Je prends l’objectif classique d’une perte de poids : Mathilde veut perdre 5 kilos sur les 3 prochains mois : c’est son objectif de base. Elle doit donc perdre 500 grammes par semaine pendant trois mois pour atteindre son objectif ; ce sont ses sous-objectifs.

On voit ici l’utilité de ces étapes découpées : il est plus simple pour Mathilde d’envisager une perte de 500 grammes par semaine que de voir sans cesse son objectif à long terme, soit la perte des 3 kilos. Elle sera ainsi plus à même de mesurer sa progression tout en étant plus indulgente avec elle-même. Son objectif ne se fera pas dans la restriction ni la frustration et elle gagnera ainsi confiance en elle et en ses capacités.

  • Planifiez les actions spécifiques à entreprendre : en établissant un plan détaillé pour atteindre chacune des étapes de votre objectif, vous aurez une meilleure visibilité de ce qui doit être accompli et vous serez ainsi plus en mesure d’observer objectivement votre avancée. N’oubliez pas non plus d'identifier les ressources dont vous aurez besoin pour les réaliser.

  • Restez motivé et responsable : atteindre un objectif est un processus qui demande du temps, de la persévérance et de la motivation (mais bien sûr, tout dépend là encore de votre objectif). Il est normal de ressentir des moments de up and down : c’est humain. Le tout est de rester responsable face à son objectif. Pour cela, pratiquez la visualisation, celle de votre objectif atteint. Ou encore, entourez-vous de personnes qui partagent le même but que vous, l’entraide est un élément important et motivant.

  • Soyez flexible : la vie est faite de mouvance et qui dit mouvement dit changement. Il est probable que votre objectif change (légèrement voire totalement) en cours de route et que vous ayez besoin de faire des réajustements. Ne soyez pas rigide envers vous-même, soyez flexible. Accueillez le changement positivement pour prendre soin de votre moral et maximiser vos chances de réussite.


J’aimerais insister sur un dernier point : n’oubliez pas, tout au long du processus, de célébrer vos succès, qu’ils soient petits ou grands.

Soyez fier de vous, de ce que vous entamez, du chemin que vous prenez.



5. Cultivez la pensée positive


Posez-vous quelques instants pour y réfléchir et prenez conscience de vos pensées : combien sont négatives, pessimistes, auto-dépréciatives ?

Quand on sait que nous avons en moyenne 70 000 pensées par jour, l’on comprend à quel point il est primordial pour sa santé mentale d’y faire attention et de les transformer positivement. Attention, cela ne veut pas dire se forcer à voir le beau en toute chose, réprimer sa colère ou sa tristesse, noyer les émotions négatives. Cultiver la pensée positive, c’est pratiquer la gratitude ; se focaliser sur le bon dans notre vie, sur l’apprentissage de leçons dans les “erreurs” ; laisser de moins en moins de place aux peurs et aux pensées qui limitent (“je ne suis pas capable de faire ça”, “je n’ose pas faire ça”, “je suis comme ça, c’est ainsi”...) ; voir les forces avant les faiblesses pour transmuter ; voir les réalisations et les succès plutôt que les loupés. En fait, c’est rester en conscience des expériences de la vie dans tout ce qu’elles ont de bons et de moins bons, et choisir de laisser plus de place au positif. C’est aussi choisir ce qui vous impacte ou non dans votre quotidien.

Pour prendre un exemple personnel : lorsque j’étais en voiture, j’avais tendance à avoir les nerfs plus sensibles, à avoir moins de patience, à être plus rigide avec mon environnement. Il suffisait d’un bus qui me coupe la voie, d’une voiture qui roule trop lentement, d’un piéton qui traverse sans regarder, d’un clignotant oublié, et cela pouvait me mettre dans tous mes états. Un jour, j’ai observé la scène de l’extérieur, en prenant du recul. J’ai vu que je n’étais pas pressée et quand bien même, ma réaction n’allait rien changer à la situation, je ne faisais que m’empoisonner et me conditionner dans de mauvaises énergies. Honnêtement, j’ai eu honte de moi, car en plus de m'impacter psychiquement, je pouvais devenir moi-même un danger en mettant de la nervosité dans ma conduite. La pensée positive intègre avec elle la notion de responsabilité. “Je suis responsable de mes émotions, de ce que je laisse m’atteindre, de comment je vis une situation”. Maintenant, je choisis à chaque fois que je prends la voiture, que le bus qui me coupe le passage, que la voiture qui roule lentement, que le piéton qui traverse sans regarder, ne m’atteindront plus. Annexement, cela m’a également fait travailler sur la notion du retour à la lenteur. Cela a eu un effet salvateur d’une certaine manière, mais j’en parlerai dans un autre article de blog car le sujet mérite qu’on s’y penche en profondeur. Et je veux vous le dire aujourd'hui avec beaucoup de recul : cette détente dans ma conduite n'est plus forcée, je ne pense même plus à m'énerver aujourd'hui, j'accueille ce qui vient... tout en douceur.


6. Apprenez de vos erreurs


Nous sommes sur Terre pour expérimenter, vivre des expériences à travers nos différents sens, ressentir tout le panel des émotions et des sensations qui existent.

En somme, nous apprenons sans cesse, et qui parle d’apprentissage, parle aussi d’erreurs. Il est important d’accepter de faire des erreurs et de les considérer autrement que comme des choses négatives qui s’ancrent dans nos vies. Une erreur, c’est l’occasion de vivre un apprentissage, comprendre une leçon, s’améliorer, se perfectionner, évoluer. Qui n’a pas fait d’erreurs dans sa vie ? Alors, au lieu de vous critiquer sévèrement, analysez ce que vous pouvez apprendre des erreurs commises et utilisez ces leçons pour vous améliorer.

J’ai même envie de dire : remerciez ces erreurs de s'être présentées sur votre chemin. Personnellement, c’est avec elles que j’ai le plus évolué et que j’ai trouvé un bel alignement avec moi-même.

Gardez en tête que si chaque face d’une chose à son ombre, elle a aussi sa lumière.


7. Prenez soin de vous


J’ai réalisé un e-book sur la santé mentale et l’importance de prendre soin de son bien-être général. Vous pouvez le télécharger ici en cliquant sur ce lien : 5 étapes pour prendre soin de sa santé mentale.


Apprendre à gérer son stress, ses émotions ; comprendre l’importance d’avoir une bonne hygiène de vie ; prendre le temps d’écouter son corps et de l’aimer ; savoir maîtriser son mental pour entendre les messages de son âme… Tout cela est important pour prendre soin de soi dans toutes nos sphères : physique, émotionnelle, psychique et énergétique.

En prenant soin de vous, vous vous donnez de l’importance et de l’amour, et cela renforce indubitablement votre estime de vous-même.


Pour conclure…


Laissez votre lumière briller, prenez conscience de votre valeur et montrez-la, entourez-vous de personnes qui vous font du bien, prenez du temps pour vous, prouvez-vous des choses en sortant de votre zone de confort, cultivez avec amour vos pensées et fixez-vous des buts réalisables. Ne laissez pas l’opportunité au petit démon sur votre épaule de saboter votre travail et votre plein potentiel.


Je souhaite sincèrement vous féliciter pour le chemin que vous êtes en train de prendre. Développer sa confiance en soi est un travail de longue haleine, qui nécessite beaucoup de détermination, de motivation, de force et de résilience. Il est courageux de votre part de prendre en main cette partie de vous, et c’est déjà une belle preuve d’amour que de vous donner l’opportunité d’être tel que vous êtes à votre meilleur potentiel. Bravo !


Comme je vous l’ai précisé en tout début d’article, vous pouvez dès à présent télécharger votre workbook ici, en vous inscrivant à ma newsletter.


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